L’ART ET LA MATIERE
Au cœur de Mashandy, Philippe Guilhem tisse les fils invisibles de son âme créative, façonnant une symphonie joaillière où chaque note résonne des échos de ses passions et des souvenirs artistiques qui ont touché son esprit.
L’essence de Mashandy, enchanteresse et unique, puise ses racines dans le terreau fertile des Arts Premiers et de l’Art Déco. Ces héritages divers se fondent en une danse intemporelle où naît la magie, et où les inspirations prennent vie entre les mains habiles de l’artiste.
Dans ce jardin de créativité, les créations de Raymond Templier se dressent telles des fleurs rares, notamment la majestueuse “Tête”. Inspirée des œuvres aux nuances africaines de Gustave Miklós, cette pièce devient le fil conducteur entre traditions anciennes et modernité audacieuse.
Les poèmes envoûtants de Paul Valéry, tels des murmures d’inspiration, s’entrelacent avec la pensée créative de Philippe Guilhem. Chaque vers évoque une émotion, chaque mot devient une perle précieuse, tissant l’intrigue romantique de chaque bijou Mashandy.
Les toiles cubistes de Braque et Picasso dévoilent un monde de formes géométriques et de perspectives audacieuses. Ces maîtres de la vision décloisonnée guident l’artiste dans une exploration infinie où la limite entre l’imaginable et le tangible s’efface.
Les architectures organiques de Zaha Hadid offrent une valse de courbes audacieuses, une chorégraphie de l’élégance qui inspire les créations uniques de Mashandy. Chaque bijou devient une pièce d’architecture miniature, un chef-d’œuvre à porter, une œuvre d’art vivante.
Les sculptures d’Archipenko et de Brancusi, avec leurs formes enchanteresses et leurs lignes épurées, s’entrelacent dans la trame des créations. Elles insufflent une modernité intemporelle, une élégance qui transcende les époques.
Ainsi, Mashandy n’est pas seulement une collection de bijoux, c’est une épopée poétique où chaque pièce raconte une histoire.